Drame Alcool au volant Mort d’un père de famille.
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Drame Alcool au volant Mort d’un père de famille.
C’était au petit matin, courageux travailleur, ce bon père de famille accomplissait son labeur quotidien en livrant du pain. C’est ainsi qu’il subvenait au besoin de sa famille fièrement et honnêtement. Seulement ce matin-là, il a croisé la route de l’alcool. Innocent, on l’a condamné à mort, sans procès, sans avocat, son seul tort être là à ce moment-là. J’apporte au travers de ces quelques lignes à son épouse, ses enfants, sa famille et ses amis, mes condoléances, bien-sûr, mais aussi mon amitiés et mon soutien.
Tout le monde se déchaîne parce que c’est un officier de police qui a commis cet acte ignoble. Mais ce n’est pas l’uniforme qu’il faut juger, ni la profession, mais l’homme et surtout l’alcool et ces dérives. Chaque profession, toutes les classes de notre société sont touchées par ce fléau. L’alcool est devenue compagnon de vie, remplace le conjoint, s’invite à toutes les occasions pour se manifester et même quand il n’y a pas d’occasions aussi. Cette tragédie n’est pas unique alors depuis longtemps il est classé dans les faits divers de nos presses quotidiennes.
On s’indigne, on hurle aujourd’hui, mais demain qui sera encore au côté de cette famille pour les aider, on sera probablement déjà passés à autre chose, mais eux ils ne peuvent plus passer à autre chose car leur vie c’est arrêté ce matin-là en perdant l’être qui leur été cher.
On cherche des responsables, on veut des têtes de ministres, c’est à cause de l’État. Faux c’est de notre responsabilité collective. Dans cet accident, comme tant d’autres, l’alcool a tué, brutalement, fatalement. D’ailleurs combien sommes-nous à nous dire « oh j’ai un peu bu, mais j’habite à 100 m » ou encore « oh je n’ai pas beaucoup bu, 2 ou 3 verres pas plus ». Alors au bout de ces 100 m, au-delà de ces 2 ou 3 verres, c’est la mort qui nous rattrape. Des jeunes, des familles, des pères, des mères, des amis sont frappés par le destin d’un verre de trop.
Notre société s’autorise tous, surtout les excès, irresponsables elle dépasse sans compter les limites du raisonnable. Tous est excuses pour consommer et puis vient quand il y a plus d’excuse mais qu’il faut consommer, chaque jour, encore plus. Notre société c’est rétrogradé au niveau d’enfants, qu’il faut rappeler à l’ordre, corriger à chaque instant.
Il y a cependant ce qui reprenne leur destin, leur vie en main et qui s’offre, dans la douleur, la peine, la liberté de dire non. C’est gens-là, pourtant ancien alcoolique continue à souffrir du regard et du quand dira-t-on de tous ceux qui continue à fermer les yeux, criminel potentiel aux détours d’une soirée trop arrosée.
Chaque victime de l’alcool : par accident, sous les coups, les violes sont les oubliés de notre société égoïste qui n’a pas su collectivement assumés cette responsabilités d’adulte dit intelligent et qui sème par ces comportement, la douleur, la souffrance, la tristesse.
C’est à tous cela que je veux dédier ces quelques lignes et de dire à tous ceux qui cherche leur liberté dans cette addiction de garder espoir.
Tout le monde se déchaîne parce que c’est un officier de police qui a commis cet acte ignoble. Mais ce n’est pas l’uniforme qu’il faut juger, ni la profession, mais l’homme et surtout l’alcool et ces dérives. Chaque profession, toutes les classes de notre société sont touchées par ce fléau. L’alcool est devenue compagnon de vie, remplace le conjoint, s’invite à toutes les occasions pour se manifester et même quand il n’y a pas d’occasions aussi. Cette tragédie n’est pas unique alors depuis longtemps il est classé dans les faits divers de nos presses quotidiennes.
On s’indigne, on hurle aujourd’hui, mais demain qui sera encore au côté de cette famille pour les aider, on sera probablement déjà passés à autre chose, mais eux ils ne peuvent plus passer à autre chose car leur vie c’est arrêté ce matin-là en perdant l’être qui leur été cher.
On cherche des responsables, on veut des têtes de ministres, c’est à cause de l’État. Faux c’est de notre responsabilité collective. Dans cet accident, comme tant d’autres, l’alcool a tué, brutalement, fatalement. D’ailleurs combien sommes-nous à nous dire « oh j’ai un peu bu, mais j’habite à 100 m » ou encore « oh je n’ai pas beaucoup bu, 2 ou 3 verres pas plus ». Alors au bout de ces 100 m, au-delà de ces 2 ou 3 verres, c’est la mort qui nous rattrape. Des jeunes, des familles, des pères, des mères, des amis sont frappés par le destin d’un verre de trop.
Notre société s’autorise tous, surtout les excès, irresponsables elle dépasse sans compter les limites du raisonnable. Tous est excuses pour consommer et puis vient quand il y a plus d’excuse mais qu’il faut consommer, chaque jour, encore plus. Notre société c’est rétrogradé au niveau d’enfants, qu’il faut rappeler à l’ordre, corriger à chaque instant.
Il y a cependant ce qui reprenne leur destin, leur vie en main et qui s’offre, dans la douleur, la peine, la liberté de dire non. C’est gens-là, pourtant ancien alcoolique continue à souffrir du regard et du quand dira-t-on de tous ceux qui continue à fermer les yeux, criminel potentiel aux détours d’une soirée trop arrosée.
Chaque victime de l’alcool : par accident, sous les coups, les violes sont les oubliés de notre société égoïste qui n’a pas su collectivement assumés cette responsabilités d’adulte dit intelligent et qui sème par ces comportement, la douleur, la souffrance, la tristesse.
C’est à tous cela que je veux dédier ces quelques lignes et de dire à tous ceux qui cherche leur liberté dans cette addiction de garder espoir.
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